Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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24.09 - Delta et les Bannermen - Partie 1
Delta and the Bannermen (1)
Le peuple des Chimeron a été éradiqué par les Bannermen. Seule sa reine, Delta, a survécu. Elle s'échappe avec un œuf dans un bus galactique rempli de touristes Navarino ayant pour but de visiter le Disneyland terrien de 1959. Dans le bus se trouve Mel et ils sont suivis par le Docteur dans son TARDIS. À la suite d'un choc avec un satellite, le bus s'écrase sur Terre.
Diffusion originale : 02 novembre 1987
Diffusion française :
02 novembre 1987
Réalisat.eur.rice.s :
Chris Clough
Scénariste.s :
Malcolm Kohll
Guest.s :
Anita Graham
,
Belinda Mayne
,
Brian Hibbard
,
David Kinder
,
Don Henderson
,
Jody Wilson
,
Johnny Dennis
,
Justin Myres
,
Keff McCulloch
,
Ken Dodd
,
Morgan Deare
,
Ralph Salmins
,
Richard Davies
,
Robin Aspland
,
Russel
,
Sara Griffiths
,
Stubby Kaye
,
Tracy Wilson
Tous les avis
Avis neutre | Déposé le 06 novembre 2020 à 10:02 |
Wow, Doctor Who X Le Bigdil ! C'est incroyablement cheap, même pour les standards de la série. L'idée du bus touristique d'aliens est tout de même assez amusante. Le petit revival des 50s pourrait être une idée intéressante, mais Delta and the Bannermen ne dépasse pas la citation, au lieu de mettre en perspective 2 époques. L'épisode a un certain charme fauché, mais scénaristique il est bien trop disparate pour maintenir l'attention... |
Avis neutre | Déposé le 01 novembre 2018 à 01:12 |
Spoiler
Avis qui ne sert ici à justifier qu'une note supérieure ou égale à 16, ou inférieure à 10. Avis pour tout le serial dans sa troisième (ou quatrième) partie. |
<3
Je suis assez bon client des “premières parties” dans les classiques en général, qui terminent souvent en haut de ma liste sur des sérials autrement mauvais (c’était le cas pour les deux premières histoires de cette saison). Peut-être l’excitation de découvrir un tout nouvel univers et de nouveaux personnages ! Toujours est-il que… j’ai adoré ce premier épisode.
Ça démarre par une bataille dans une clairière anglaise (of course !), mais c’est étonnamment loin d’être moche. Le duel est assez dynamique, lisible et plutôt bien filmé. Et on cut immédiatement sur le Doc et Mel dans une sorte de péage de l’espace avec une ambiance totalement décalée et un Willy Wonka pour les accueillir, joué par un comique britannique à l'époque très connu.
Tout est très cocasse et surtout très alien. L’idée du Bus Magique “Nostalgie” qui voyage vers d’autres époques est ultra cool - c’est basiquement le très bon pitch de Voyage of the Damned dans la nouvelle série. J’aime beaucoup le détail des passagers qui passent à travers un portail “d’humanisation” : avec ça ou encore le déguisement du vaisseau en tant que bus terrien, le scénario intègre le manque de budgets dans la série avec de l’inventivité et de la logique.
La cocassitude continue avec quelques scènes avec le pire duo d’espions américains de l’histoire - l’un d’entre eux se baladant même avec une casquette “NY”, un détail qui m’a fumé quand on en prend conscience.
Et on continue de suivre aussi les “chasseurs de prime” qui traquaient la fille de la clairière. Fille qui se retrouve à bord du bus pour s’échapper. Bus qui se cogne contre le satellite que les deux espions surveillent. Et qui, au lieu de se retrouver à Disneyland (ouf), le bus ricoche dans ce centre de vacances gallois. Tout se rejoint assez bien et le montage est ultra dynamique. J’adore ce côté space opera qui donne un rythme de dingue à l’épisode, presque digne du modern Who.
La situation finit par se stabiliser au camp de vacances, avec une excuse plutôt bien trouvée et moderne pour l’époque : le TARDIS doit rester 24h pour fabriquer une pièce et permettre aux passagers de repartir (les épisodes classiques lambdas privilégient de faire capturer le Doc ou de bloquer le TARDIS dans un couloir avec un truc cheap). Même après, le rythme ne faiblit pas - ça fait vraiment plaisir de revenir sur Terre après 1500 épisodes ailleurs (je crois que le dernier en date remontait à The Two Doctors), et de découvrir une galerie de personnages toujours plus loufoques. Le conducteur incompétent me fait beaucoup rire, et tout le décalage terrestre est réussi : le mécanicien qui tente de réparer le bus alien, sa copine (malheureusement pas super bien jouée) qui arrive avec pile le bon outil, danse avec le Docteur…
Bref l’humour et l’atmosphère ont vraiment bien fonctionné sur moi.
On termine par un petit bal rock’n’roll. C’est vraiment à l’image du sérial, assez décomplexé et ambiançant, avec un cliffhanger classique pour la partie “le Doc en danger de mort”, mais assez original dans la série classique pour une raison simple et à l’image du sérial : le cliff est multiple car toutes les intrigues ont un mini-cliff. Je me serais bien passé de Mel qui crie…
Mel est toujours super compliquée comme compagne. C’est littéralement la première compagne depuis Three que je trouve parfois dérangeante - et donc c’est une de celles que j’aime le moins. Le fait de ne jamais avoir eu d’origin story et sa non-alchimie avec Seven a tué le perso - tout son potentiel est mort avec l’éviction de Colin Baker. Tu sens qu’ils forcent ses traits de caractère :
Elle reste gentille avec du pep’s, mais vraiment trop sous-écrite.
Bref, Mel est un problème plus vaste que l’épisode, qui l’emploie modérément bien. Cela reste donc une super intro néanmoins.